Akexandra a dimini=ué sa consommation de cigarettes

Alexandra, 51 ans, fumeuse depuis 30 ans

C’est assez valorisant, on fait appel à ses propres ressources. […] Malgré des a priori avec le distanciel, surtout en ces temps de crise sanitaire, j’ai trouvé ça très, très réconfortant pour moi, qui avait déjà aussi essayé une séance d’hypnose, de me retrouver dans mon environnement personnel pour faire ces séances avec un casque de bonne qualité, qui m’enveloppait vraiment.

Alexandra

Bonjour,

je m’appelle Alexandra Blachier, je viens de tester la méthode pour arrêter de fumer qui s’appelle Switchgood, qui m’a été proposée par David Buffault.

Le contexte dans lequel j’étais : je suis une fumeuse depuis plus de 30 ans. Au moment où j’ai démarré la méthode, j’étais dans une situation familiale calme, avec un environnement non-fumeur. Au niveau du ma situation professionnelle, j’ai un poste à responsabilités, donc avec pas mal de stress, mais rien de plus que d’habitude, et pour le coup, un environnement fumeur.

J’éprouvais des plus en plus de difficultés à la pratique du sport, notamment au niveau du souffle. Donc, ça rejoint donc les motivations pour lesquelles j’ai démarré cette méthode. C’était tout d’abord la santé, avec en premier chef la crainte qu’on m’annonce très bientôt une maladie. Et puis, en seconde motivation, c’était effectivement retrouver du souffle dans ma pratique sportive. Je pratique le footing et la marche rapide en forêt. En 30 ans de cigarettes, j’ai eu le temps d’expérimenter plusieurs méthodes. J’ai essayé plusieurs fois de diminuer, sans succès. J’ai essayé la Nicorette, c’est peut-être la méthode qui avait, avec le recul, le plus fonctionné.

J’ai essayé le Champix et l’acupuncture, qui n’a eu aucun effet. J’ai montré de l’intérêt pour cette méthode Switchgood pour deux raisons. Tout d’abord, pour un intérêt pour l’hypnose. Ça me semblait intéressant de s’adresser à mon inconscient puisque de façon consciente, je suis obligée de remarquer que je n’ai pas réussi. Et puis aussi parce que ça m’a été proposé par David Buffault, qui avait accompagné une amie sur une autre problématique, et avec succès. Je trouve que cette méthode ne m’a pas fait un effet miraculeux négatif, c’est à dire que je trouve que c’est une tentative de ramener à la raison qui me semble tout à fait raisonnable et qui est valorisante quand ça fonctionne, j’imagine en tout cas.

Elle s’adresse à soi. Donc ça, c’est assez valorisant, on fait appel à ses propres ressources. Qu’est ce que m’a apporté cette méthode ?

C’est que malgré des a priori avec le distanciel, surtout en ces temps de crise sanitaire, j’ai trouvé ça très, très réconfortant pour moi, qui avait déjà aussi essayé une séance d’hypnose, de me retrouver dans mon environnement personnel pour faire ces séances avec un casque de bonne qualité, qui m’enveloppait vraiment. Et j’ai pu, comme j’étais chez moi, me détendre comme il le fallait.

Aujourd’hui, malgré tout cela, je suis obligé de dire que je n’ai pas réussi. J’ai toujours l’idée dans la tête, que j’ai tendance à me dire que ce sera toujours demain, que ça sera la bonne. Mais je n’arrive pas du tout à ne pas en fumer. J’ai fortement diminué, donc je reste dans cette dynamique de peu, à défaut de réussir ne pas réussir à en fumer plus du tout. Par contre, je dois reconnaître que c’est la première fois où j’ai l’impression d’être dans un cheminement et non pas une tentative, un échec,et puis tout repart comme avant.

Donc là, j’ai vraiment l’impression que je suis dans un parcours, un cheminement, et je ne m’avoue pas complètement vaincue. J’espère que ce témoignage vous aidera.

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